Hier en sa résidence de ma Campagne, l’Ambassadeur André-Alain Atundu, Communicant du Front Commun pour le Congo (FCC), a réuni quelques journalistes trillés à la volée, pour donner sa lecture de l’actualité politique brulante de l’heure. Au sujet de la coalition CACH-FCC, le PCA de la Snel rend hommage aux présidents Tshisekedi et Kabila qui, pour éviter un sort apocalyptique au pays, entretiennent un dialogue politique  stratégique permanent, dans le respect de la constitution de la République. Et nombreux sont ceux des Congolais qui ne réalisent pas  que les deux ont évité au pays de connaître le sort peu enviable de la Bolivie et du Chili, où les élections ont provoqué un cataclysme post électoral qu’ils ont difficile à maîtriser. C’est ce qui le pousse à affirmer que cette coalition FCC-CACH est la voie du salut du peuple congolais, et tout patriote a le droit de contribuer à sa réussite.

Les dégâts causés par les pluies diluviennes, la relation FCC-CACH, la réaction des populations du Kivu face au syndrome des assassinats ciblés et le refus de certains partenaires à lever les sanctions qui frappent certaines personnalités congolaises, ont été au menu de l’échange entre l’Ambassadeur André-Alain Atundu et la presse nationale et internationale.

Il a commencé par fustiger le comportement  de certains acteurs maladroits et opportunistes qui s’emploient à détruire la coalition politique par des déclarations incendiaires et contreproductives, comme si les partenaires d’une coalition sont des adversaires ou des ennemis. « Non, nous sommes plutôt des partenaires décidés à réaliser ensemble notre engagement commun en l’occurrence gouverner ensemble pour le bénéfice de la République et le bonheur du peuple congolais », affirme-t-il.

Et de renchérir qu’à cette fin, la coalition FCC-CACH dispose de deux instruments : la constitution et l’engagement fondateur de la coalition issu de la volonté des présidents Tshisekedi et Kabila. « Ne faisons pas le lit de ceux qui ne veulent ni du bonheur du peuple congolais ni du progrès de notre démocratie ni du développement de notre pays », conseille-t-il.

C’est ici qu’il a rendu hommage aux présidents Tshisekedi et Kabila qui, pour éviter un sort apocalyptique à nos populations, entretiennent un dialogue politique stratégique permanent dans le respect de la constitution de la République. A l’en croire, beaucoup ne réalisent pas que Kabila et Tshisekedi ont évité au pays de connaître le sort peu enviable de la Bolivie et du Chili où les élections ont provoqué un cataclysme post électoral qu’ils ont difficile à maîtriser. C’est ce qui le pousse à conclure que la coalition FCC-CACH est la voie du salut du peuple congolais et tout patriote a le devoir de contribuer à sa réussite.

Atundu n’a pas manqué de saluer la retraite de Mbuela Lodge où un message d’espoir a été donné, soit un signal fort à savoir que le FCC croit en la coalition et que nous devions tout faire pour gouverner ensemble. Et la présence opportune de l’Autorité morale du FCC, Joseph Kabila est un gage de plus que ce ne sont pas des paroles en l’air.

Ensemble derrière les FARDC

Dans son point de presse d’hier, le Communicant du FCC, l’ambassadeur Atundu est aussi revenu sur la réaction des populations du Kivu face au syndrome des assassinats ciblés et crapuleux des victimes innocentes, disant qu’elle est légitime. Et de rappeler que FCC veille à l’intérêt du peuple congolais. Et d’expliquer que lorsque le président Kabila était aux affaires, il a plus d’une fois demandé à la Monsco de présenter un calendrier crédible de retrait, parce que le peuple congolais manifestait déjà les signes d’impatience à cause de la longue durée de la guerre qu’on imputait soit à l’affairisme de la Monusco, soit à sa complicité.

Aujourd’hui, dit-il, ces populations se sont exprimées de façon véhémente, ce que nous nous ne pouvons pas accepter, même si nous comprenons. Ce n’est pas dans la rue qu’il faudra trouver des solutions à des problèmes de sécurité. Et de renchérir que le chef d’Etat-major en personne a établi son quartier général dans cette zone trouble.

« Une guerre, on sait quand et pourquoi elle commence, mais on ne sait jamais quand et comment ça va se terminer. Voilà pourquoi en aucun moment, nous ne pouvons perdre notre foi en la capacité de nos troupes pour la défense du peuple.  Lorsque vous voyez la situation à travers le monde, cette guerre asymétrique et atypique ne connait pas de solution immédiate, radicale. Vous pouvez aller en Afghanistan, en Irak, en Syrie aujourd’hui, etc. le FCC encourage le Président de la République à veiller au respect de son engagement premier, de sauvegarder la souveraineté du pays et de chercher l’intérêt de la population », insiste-t-il.

M. A. Atundu n’a pas manqué de s’exprimer  au sujet des conséquences des dernières pluies diluviennes, disant que l’Etat doit sévir sans état d’âme contre ceux qui ont construit sans tenir compte des exigences du comportement de la société et des éléments de la nature. Il a salué la réaction du ministre d’Etat chargé de l’Urbanisme et Habitat, Pius Muabilu Mbayu Mukala, avant de souligner que mieux vaut punir un coupable vivant que de pleurer des victimes innocentes et faire face au traumatisme social.