Depuis le début de la saison de pluie dans la ville de Kinshasa, dans la partie Est, particulièrement dans la commune de Kimbanseke et N’Djili des routes sont des états impraticable avancée. La population de cette partie, lance appel aux autorités de sauvés des infrastructures routière pour permettre à la population d’améliorer son vécu.
Devant la station de service situé dans la commune de N'Djili, au quartier 5, en face du quartier 4, où se situe l'immeuble abritant le bureau privé du ministre Jolinno Makelele, ministre de communication et médias , porte-parole du gouvernement Ilukamba, la route est dans une situation de déchéance avancée, depuis plus de 2 ans. La population de cette partie de la capitale, pendant de réalisation du projet 100 jours du président Felix Tshisekedi, ont lancé leur appel alertant les dirigeants de la ville de Kinshasa, pour qu’une mesure de secours soit adoptée. À constater que la route est devenue impraticable, formant un lac déjà d'au moins un demi-mètre.
En face d'une population mobile, forcée de vivre au taux du jour. Circulant et usant des routes en mauvaise état, le prix de transport est observé à la hausse, suite à cette situation. Des habitants de certains quartiers dont Kifuta, Panga, Camp 15, Révolution, B’Américains, Bel air, situés dans la commune de Kimbanseke souffrent suite aux embouteillages causés par la dégradation de la route. De même, la situation est en observation sur l'avenue Kipombo jusqu'à l'avenue Mbanza Nsundi, au niveau de l'arrêt de bus Vodacom, en face de l'ancien arrêt de bus RTL et RFI, et s'en suivent partant de l'avenue Vaku à l'avenue Lusansu. La route N'Djili-Kimbanseke se dégradent à un rythme continu, si bien que des bus atteignent difficilement le terminus de Kimbanseke, situé au marché Maba, au cimetière de Kimbanseke.
Sur le tronçon située entre Mbanza Nsundi et l'avenue Afrique, juste devant l'ancienne maison communale de Kimbanseke, la route ne permet pas aux conducteurs de bus de se rendre au point le marché Ngandu et, l'avenue Colonel Ebeya. Des élèves de l'Institut Viluka, ITAV Salongo, i institut Yanda Mayemba et, nombre d’élèves en déplacement pour se rendre à leur point d'étude. Connaissent de claquage de transport. Quand l'engin qui dessert la population n’en peut plus, la moto est le moyen de transport rapide. Et ce, même si les moto-transporteurs sont critiqués pour le non-respect du code de la route.
Le boulevard Luemba en dégradation avancée, des maraîchers peinent pour se rendre à leurs points de vente
Dans la commune de N'djili, au quartier 7, entre la partie occidentale et orientale, est érigé le boulevard Luemba. Depuis plus de 5 ans, cette route est devenue un parking garage de fourgonnettes kinoises en panne. Ces véhicules abandonnés, dérangent la circulation routière dans cette partie, tant bien même l’état de dégradation avancée de l’asphalte du boulevard inquiète des habitants de cette partie. Et, l’histoire démontre que ce boulevard qui est dégradé, est la voie permettant au bourgmestre de la commune de N’Djili de se rendre en son bureau du travail. Les aux juges, magistrats et avocats du tribunal et du parquet de N'Djili situés dans la même commune, aux maraîchers d'évacuer leurs marchandises vers les points de vente de Kinshasa, et de s'approvisionner en semence, en produits chimiques et autres fumiers ou composts, etc.
Dans cette partie est de la capitale, des familles vivent des activités maraichères. Des routes sont traditionnellement importantes pour l'acheminement des produits en des points de vente dépendant de ces routes, les voies de communication favorisant la circulation propice des biens et services des populations : à l'exemple du marché Kasaï, situé au quartier 6, commune de N'Djili, marché de la Liberté de Masina, marché de Kingasani et de Fer- bois à Mokali, commune de Kimbanseke.
A présent, la population appelle les dirigeants de Kinshasa à résoudre les problèmes de circulation dans cette partie. En commençant de réhabiliter la route cecomaf, une route d'envergure socioéconomique et d'échange commerciale entre divers point de la capitale. Cette route relie N'djili, Kimbanseke, Mont-Ngafula, Kisenso, etc. Et, des sites agricoles et des carrières de sable et de pierres s'en servent jour et nuit. De même, ce dernier peut éviter l’embouteillage sur les artères de la partie ouest de la capitale, si seulement elle mise dans des conditions viables, pour une route. Tant d’avenues d'envergure restent dégradées à Kinshasa, mégapole de plus 13 millions d'habitants. Et dire que la capitale projette son développement, sans route. C'est difficile ! Laissons le temps au temps.