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Crash d’un Antonov de la Force aérienne pour la logistique présidentielle, Atundu : « Attendez le résultat des enquêtes »

Au sujet du crash d’un Antonov affrété par la Force aérienne pour la logistique présidentielle, l’Ambassadeur André-Alain Atundu, cadre du Front commun pour le Congo (FCC), pense qu’il y a des spéculations fantasmagoriques. Pour lui, lorsqu’il y a crash, la première opération à faire est celle de savoir qui avait autorisé le départ de l'avion ? Est-ce que les conditions étaient remplies ?  Qu'est-ce qui pourrait causer cela ? Sans oublier la localisation et l'identification de l’avion et des victimes. Ces genres d'enquêtes peuvent prendre des mois, voire même des années... A l’en croire, la réaction d'une partie des militants de l'Udps était émotionnelle, provoquée par les gens qui ne jurent que sur la fin de la coalition FCC-CACH. Il conseille de faire attention pour ne pas tomber dans le traquenard. Il estime que la coalition entre Félix Tshisekedi et Joseph Kabila, qui se porte du reste très bien, est une volonté de deux personnalités dictée par l'amour de la patrie et de la nation, la conscience qu'il s'agit d'une alliance stratégique qui repose sur le dialogue promenant et le cap vers le développement du pays.

Il y a des spéculations fantasmagoriques. Il y a une catégorie de citoyens qui ne veulent que le malheur au Congo. Le crash est un événement malheureux, présenter les condoléances à Fatshivit présenter la compassion aux victimes mortes en mission. Lorsqu'il y a un crash, la première opération à faire: qui avait autorisé le départ de l'avion, est-ce que les conditions étaient remplies ?  Qu'est-ce qui pourrait causer cela ? La localisation et l'identification. Ces genres d'enquêtes peuvent prendre des mois, des années... Ethiopian, c'était un avion de dernière génération. La réaction d'une partie de militants de l'Udps était émotionnelle, provoquée par les gens qui ne jurent que sur la fin de la coalition Fcc-Udps. Nous devons faire attention pour ne pas tomber dans le traquenard. La coalition est une volonté de deux pour améliorer le bonheur des Congolais. Tous ceux qui veulent le divorce, ne veulent pas nécessairement le bonheur. La présence de deux est une garantie que l'avenir de la Rdc est sauvegardé les intérêts.

N’attendre que les enquêtes

L’Ambassadeur André-Alain Atundu était hier devant la presse nationale et internationale. A l’occasion, il a évoqué plusieurs questions, notamment celles relatives au crash d’un avion militaire, la santé de la coalition FCC-CACH, le renouvellement ou pas des sanctions, le budget de l’Etat pour l’exercice 2019, etc. Au sujet de ce crash, il pense qu’il y a des spéculations fantasmagoriques. « Il y a une catégorie de citoyens qui ne veulent que le malheur au Congo », dit-il, avant d’expliquer que le crash est un événement malheureux. Il a profité de l’occasion pour présenter les condoléances au président de la République qui a perdu certains de ses proches. Il a aussi présenté sa compassion aux victimes mortes en mission. Pour lui, lorsqu'il y a un crash, la première opération à faire consiste à savoir : qui avait autorisé le départ de l'avion ? Est-ce que les conditions étaient remplies ?  Qu'est-ce qui pourrait causer cela ? Et cela, sans oublier la localisation et l'identification de l’avion et des corps. Ces genres d'enquêtes peuvent prendre des mois, voire même des années...

Il a donné l’exemple Ethiopian Airlines qui s’était doté d’un avion dernière génération, mais qui a crashé.  A l’en croire, la réaction d'une partie des militants de l'Udps était émotionnelle, provoquée par les gens qui ne jurent que sur la fin de la coalition FCC-CACH. « Nous devons faire attention pour ne pas tomber dans le traquenard. La coalition est une volonté de deux partenaires pour améliorer le bonheur des Congolais. Tous ceux qui veulent le divorce, ne veulent pas nécessairement le bonheur des Congolais. La présence de deux est une garantie que l'avenir de la Rdc est sauvegardé.

Pour toutes autres questions, Atundu pense que ce sont les enquêteurs qui doivent y répondre. Le problème d'un avion est celui de l'entretien. Laissons les enquêteurs nous éclairer. Éviter de s'engager dans un domaine hautement sensible. Il pense aussi que le gouvernement doit communiquer en ayant des éléments pertinents. Nous vivons dans une suspicion permanente.  Y-a-t-il des impacts de balles ? « Attendez le résultat des enquêteurs », rétorque Atundu, car rien ne le dit que l'épave qu'on a vu est celui-là. Quelle est la conclusion d'une des hypothèses des enquêteurs ?  Est-ce que l'avion a traversé une zone de guerre ? Laissons aux enquêteurs et c'est à eux de répondre !

FCC-CASH  pour le meilleur et pour le pire

Le crash de l’Antonov présidentielle a entrainé des mouvements à Limete, provoqués par certains militants de l’UDPS. La presse a voulu savoir si la coalition état en danger. Et Atundu de se poser la question suivante : quelle est la source de la coalition ?  Et de répondre que c’est la volonté de deux nationalistes et de deux patriotes, pour éviter des problèmes postélectoraux, pour éviter qu’il y ait crise au sein des institutions : la majorité est du FCC et la présidence du Cach. Si on se combat, on ne fera rien. Celle alliance visée à assurer le bonheur de Congolais et à travailler ensemble. Cette période est hautement pédagogique. Jamais dans son existence, l'Udps n'a exercé le pouvoir à ce niveau. Jamais le FCC n'a vécu cette situation où elle a une majorité sans chef de l'Etat. Félix Tshisekedi et Joseph Kabila ont tout fait pour expliquer à leurs collaborateurs l'intérêt de cette coalition. Atundu reconnait qu’il y a des péripéties de l'alternance.  Mais il insiste que la volonté de deux partenaires est basée sur l'amour de la patrie et de la nation, la conscience qu'il s'agit d'une alliance stratégique qui repose sur le dialogue permanent et le cap vers le développement du pays.

Et Atundu d’insister que la coalition est un contrat, une  volonté de deux nationalistes. Quand on se met en coalition ou on signe un contrat, il y a des obligations synallagmatiques. Vivons la réalité, car ce que Tshisekedi et Kabila nous demandent,  c'est d'œuvrer pour que la coalition améliore la situation des Congolais, ainsi que notre position dans le concert des nations.

Il est revenu sur cette période hautement pédagogique, pour expliquer que chacun doit faire montre d'humilité, car il apprend ce qu'il ne connaissait pas. Je suis de la Majorité et je ne suis pas de la Présidence,  quel comportement avoir ?  On ne va pas juger Fatshi sur le nombre de conflits ni de marches de colère, mais qu'est-ce que vous avez promis ? Tout ce qu'on reproche aujourd'hui à Tshisekedi, c'est ce qu'on reproche à la coalition. « N'essayez pas de nous séparer. Nous sommes là pour le meilleur et pour le pire. Kabila a eu une attitude particulièrement constructive. Tout ce que fait Félix dans le cadre de la coalition, le FCC y est pour quelque chose », dit-il.

Sanctions infligées aux cadres du FCC: les Occidentaux attendent les signaux de Fatshi

C’est probable que les sanctions contre certains dignitaires de l’ancien régime soient levées ou non par l’Union européenne et les Etats-Unis d’Amérique. Pour André-Alain Atundu, une sanction politique est une pression morale faite à un pays soit à travers l'armée, l'économie ou des personnalités. Ces sanctions sont politiques, et il est normal que les choses ayant changé, qu'elles soient levées. Les Occidentaux attendent que Tshisekedi leur donne des signaux clairs quant à son engagement de remplir ce qui est convenu.  A ce jour, pour que l'Occident accepte de lever ces mesures, ils attendent que Tshisekedi leur



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