Après ces deux dernières pluies qui se sont abattues sur Kinshasa, des dégâts enregistrés sont énormes. Il est à observer que des demi-parcelles de Kinshasa, vendues sans respect des normes en vigueur sur l’habitat à Kinshasa. La ville est appelée à soulever un bâton, pour décourager des dérapés.
La ville de Kinshasa est butée au problème de surpopulation et de manque de respect de loi sur la planification des habitations. En fait, des Kinois, par des conséquences d’une économie précaire, s’achètent des parcelles aujourd’hui, en demi- terrain, constate un géomètre. Le prix allant de dix mille dollars pour une parcelle entière en fonction de la commune, du quartier et de la grandeur de la parcelle. Cette situation ne facilite pas aux paisibles citoyens de se procurer une parcelle. Le recours à une demi-parcelle renvoie aux délits de la loi sur l’habitat.
Il s’observe que ce phénomène a entrainé des pratiques non tolérables. Il s’agit du manque de respect de limite, du système de voirie et drainage. Des agents du service d’habitat malintentionné se permettent de céder aux individus même des portions de terre appartenant à l’Etat. Conséquences, actuellement, des constructions pullulent sur des voies publiques, sur des infrastructures des voies de voiries drainage et sur des caniveaux. Après des pluies, des habitants de maints quartiers se retrouvent dans une situation déplorable. Des inondations des habitations, pertes de biens et même des vies humaines. Pour pallier la situation menaçant la ville, dans le cadre de l’opération ‘’Kin-Bopeto’’, l’Administration urbain est appelée à mieux soulever le bâton, pour punir les hors-la-loi.