La situation de l’agression des M23 soutenus par les forces armées rwandaises, dans l’Est de la république démocratique du Congo, actuellement dans la ville de Goma chef de la province du nord Kivu, devient de plus en plus préoccupante. Une question très sensible qui a fait bouger le monde et n’a pas laissé indiffèrent le réseau des associations des professeurs des universités congolaises qui à leurs tour ont pris la décision de suspendre la grève sèche décrétée depuis le 09 décembre 2024, sur toute l’étendue du territoire national.
Selon le communiqué de RAPUCO, réseau de l’association des professeurs de la république démocratique du Congo, rendu public le mercredi 29 janvier de l’année en cours, la situation de la ville de Goma mis en danger par l’agression rwandaise devient pire et demande un soutient indéfectible de tout citoyen digne de ce nom, raison pour laquelle , le RAPUCO suspend son mouvement de grève décrété depuis un mois pour montrer leur soutien à la population de l’EST présentement en démuni, leur soutien aux vaillantes forces armées de la république et aux loyalistes Wazalendo qui continuent de désister pour défendre l’intégralité du territoire national.
En clarté, les professeurs d’université congolaise, mettent en patience leurs revendications et attendent l’évolution des travaux dans le calme, demandant à tous Les établissements de reprendre avec succès les activités académiques. Cette décision intervient après plusieurs réactions de la population congolaise qui a fait preuve de leur attachement aux forces armées de la république à travers les manifestions pacifiques et des colères comme le cas de la ville de kinshasa où la journée du lundi 27 janvier s’était annoncé avec des tensions non maitrisables causées de manière spontanée par les kinoises et kinois descendus dans les rues de la capitale pour contester l’agression rwandaise et le complot de la communauté internationale qui multiplie des discours creux et des actes d’aveuglement. Plusieurs ambassades ont été visités par ces derniers en colère telle que l’Ambassade de France, de l’Ouganda et de Rwanda où le message avait été fait par la population à travers les actes de vandalisme et de pillage pour leurs pousser à se retirer du Rwanda, petit marionnette en défaveur de la république démocratique du Congo.
Et cette décision de RAPUCO, s’est coïncidée avec la détermination des étudiants congolais, qui malgré l’interdiction des marches annoncée dans la soirée du lundi par le gouverneur de la ville Daniel Bumba Lubaki pour éviter les danger des destructions des biens et des entreprise étrangères installées dans le pays, ont réussi à marcher pacifiquement pour compatir avec les citoyens et étudiants de Goma et soutenir les FARDC soutenus par les Wazalendo pour la défense de la patrie.
Il sied de préciser que dans le même cadre de protester contre l’agression rwandaise et réitérer la confiance à l’armée congolaise soutenue par les forces loyalistes de la partie Est du Congo, la ministre de l’enseignement supérieur et universitaire avait lancé le message faisant la journée du jeudi 31 janvier, (une journée sans cours) pour montrer l’attachement sans relâche de ladite partie en, danger.
Il faut rappeler qu’avec le slogan « la patrie ou la mort, nous vaincrons » les professeurs de universités de la république démocratique du Congo se sont mis d’accord pour mettre l’eau dans le vin, afin de suspendre la grève sèche qui a fait plus d’une quarantaine de jours sans relâche, dans les soucis de permettre au gouvernement de prendre les temps de se focaliser sur la situation meurtrière dans l’Est de la république démocratique du Congo causé par le mouvement du 23 mars soutenus par l’armée rwandaise.