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Initiatrice de la fondation qui porte son nom : Julie Pinga-Pinga s’exprime en faveur des jeunes filles

Dans le cadre du mois de la femme, en quatre jours de la commémoration de la journée internationale des droits de femmes, l’initiatrice de la fondation Julie Pinga-Pinga qui s’est exprimée ce lundi 4 mars 2024 à Kinshasa, a plaidé en faveur des jeunes filles pour leur autonomisation. La jeune fille, étant un être humain au même titre que son compatriote  de sexe opposé,  doit aussi relever les défis  du développement de la société car ayant de la valeur les lui permettent. Toutefois, certains hommes ne croient pas en elle estimant que leurs place est de rester à la maison et  de prendre le soin des enfants et autres. Les jeunes filles sont ainsi  exposées à tous  les vents des antivaleurs de la société qui se présentent.

 

Actuellement, plusieurs jeunes filles ignorent leurs valeurs, elles pensent que quels que soient les titres ou la valeur qu’elles ont, elles finiront toujours par se marier un jour et être à la charge de l’homme. De ce fait,  peu sont conscientes et font preuve dans la lutte pour leur vie en premier et pour le progrès de la société.

Cependant, Julie Pinga-Pinga, étant l’initiatrice de sa fondation qui porte son nom, exprime en faveur des jeunes filles congolaises en profitant de ce mois de la femme pour spécifier qu’au sein de leur structure, celui-ci est compris comme une période où la femme dresse un bilan pour évaluer le degré de sa participation dans la vie politique et socio-économique là où elle se retrouve.

Elle précise qu’elle est consciente du thème de la journée internationale de la femme qui est donc « investir en faveur des femmes : accélérer le rythme » et cela s’articule sur cinq axes. Face à ce thème, sa fondation envisage à organiser des séances de formation sur le harcèlement sexuel en milieux professionnel et scolaire du fait que cette action est connu de tous que les jeunes filles, jeunes femmes souffrent de ce phénomène dans ces endroits cités.

Dans le but de conscientiser les jeunes filles pour l’épanouissement de la société, cette fondation espère avoir des filles dotées des capacités morales ou intellectuelles pouvant les aider à faire face au phénomène du harcèlement sexuel en milieu professionnel ou scolaire ici à Kinshasa. Elle ajoute encore que les jeunes filles sont en mesure de relever les défis sauf le cas de celles de son pays, précisément à Kinshasa où l’état congolais, avec l’accompagnement  d’autres établissements, doit mener des actions de sensibilisation et de formation dédiées à celles-ci afin de leur montrer qu’elles peuvent faire face à n’importe que défi et auteures des grandes réalisations.

La fondation pense que tout commence par une bonne éducation car elle ne peut investir en faveur d’une jeune fille qui a une base et qui est consciente de son état actuel en se souciant de son avenir.

Dans le souci de motiver les jeunes filles pour leur développement, la fondation leur prodigue des conseils en donnant des exemples concrets de certains modèles de la vie ou de types de femmes qui ont marqué l’histoire du monde, pouvant les aider à bien s’envoler dans leur vie personnel tout en ayant des principes possibles. La fondatrice donne son exemple pour pousser les jeunes filles à penser à leur avenir sans tenir compte de leur âge ; car elle, elle est dans le domaine de l’enseignement où elle a commencé sa carrière à 18ans jusqu’à devenir actuellement directrice d’un établissement scolaire à 20ans.

Dans le cadre de ce mois de la femme, cette fondation centre son thème pour ce mois sur « l’utilisation optimale des réseaux sociaux contre le cyber harcèlement » par le fait que ceux-ci sont devenus un outil indispensable pour tout type de communication d’où les jeunes filles, les jeunes femmes sont victimes des actes agressifs intentionnels perpétrés d’une manière électronique sur cette fenêtre par l’exposition de nudité des femmes.

De ce fait, cette fondation lutte pour les droits et lutte contre les violences basées sur le genre. Elle met plus l’accent de par leurs actions sur la santé morale ou intellectuelle des jeunes filles en martelant que celles-ci doivent en premier lieu connaitre leurs droits et leur rôle dans le processus du développement de tout type d’entité( famille, foyer, nation,…).

Cependant, chaque organisation ou structure a toujours quelques choses à apporter à l’humanité, de ce fait, la fondation précise que tous ont le même cerveau et  la femme reste protectrice de l’humanité dans le fait qu’elle perpétue la race. Elle encourage les jeunes filles à la formation et à l’entreprenariat tenant compte du thème de mois de la femme Edition 2024 car c’est grâce aux petites économies des mères commerçantes que la stabilité des familles se maintient. Sur ce, la jeune fille doit se préparer à la relève et viser encore la barre très haut sur les plans politique, économique et social.

Ainsi, la fondation Julie Pinga-Pinga conscientise les jeunes filles dans la mise en œuvre de leurs capacités morales, instinctuelles pour le développement intégral de la société et de leur vie personnel afin de combattre les antivaleurs et les pousse à la formation et à l’entreprenariat dans le cadre du thème de l’année 2024 pour le mois de la femme.

 



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