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Un bilan digne d’éloges à la tête de l’Urbanisme et Habitat : Muabilu, le réformateur

Jusqu’à 2020, est bien plus encore en 2023, l’année en cours, la véritable tragédie des grandes villes congolaises en général et de la ville province de Kinshasa, c’est qu’elle n’évolue pas avec son temps avec l’accroissement de sa population. . (...) Loin de suivre le progrès, loin d’accompagner son boom démographique et l’exode rural après l’indépendance, l’extension urbaine en Rdc  semblait rétrograde et barbare. Il fallait donc initier un  processus pour la réorganisation des structures et de l’épanouissement des cités,  ce qui était un changement de caractère profond, radical apporté à quelque chose, en particulier dans la gestion de l’Urbanisme et habitat pour améliorer son  fonctionnement : Pius Muabilu  Mbayo Mukala, une fois aux affaires pour la gestion du ministère de l’Urbanisme et Habitat avait immédiatement initié des reformes, ce qui fit de ce  ministre d’Etat  un  réformateur dans ce secteur.

Après plus de six décennies d’indépendance (exactement 63 en 2020)  et une fois au gouvernement, le ministre de l’Etat en charge de l’Urbanisme et Habitat, le multi-élu du Mont Amba dans la ville de Kinshasa, s’est attelé à doter la République démocratique du Congo d’un Code de l’urbanisme et de la construction. Une innovation dans le domaine de l’Urbanisme que Pius Muabilu, a réussi à mettre en orbite de l’écosystème des instruments juridiques nationaux.  D’ailleurs, depuis son arrivée dans ce ministère, il ne cesse d’apporter des réformes dont beaucoup d’actions sont à son actif. Le Code de l’Urbanisme avait comblé le vide juridique laissé par le décret de 1957, qui est totalement en déphasage avec les réalités sociodémographiques de notre pays, la Rdc.

« Ce décret est en déphasage total avec nos réalités sociodémographiques, technologiques, les spécificités éco-systémiques. Avec ce texte, notre pays continuait de s’enfoncer dans le trou et continuait à s’enfoncer», a-t-il souligné.  “Je suis très fier d’avoir apporté cette petite pierre à l’édifice », s’était félicité Pius Muabilu.

 Pius Muabilu, en guerre contre les constructions  dans les sites fragiles

Bien avant de prendre le décret sur le  Code de l’Urbanisme, déjà à la première année de la mandature de Félix Antoine Tshisekedi à la tête de la Rdc, le réformateur et ministre d’État en charge de l’Urbanisme et Habitat, Pius Muabilu, avait pris un Arrêté en décembre 2019  pour interdire de délivrer des permis de construire et d’autres documents y relatifs sur les sites et espaces inconstructibles et fragiles. Des constructions dans ces sites ont maintes fois endeuillé les populations congolaises. 

Ces mesures s’imposent pour atteindre l’objectif  ‘zéro catastrophe à cause des constructions anarchiques et autres violations des normes urbanistiques et architecturales dans le pays’. Pour s’y faire, le Secrétaire général du ministère de l’Urbanisme et Habitat avait été instruit de transmettre au ministre la liste de toute personne désireuse d’obtenir le permis de construire et  la liste devrait être publiée sur le site Internet du ministère. Tout ordre de mission de descente sur le terrain, pour l’inspection des chantiers et espaces publics, doit recueillir au préalable l’avis du Ministère ayant en charge l’Urbanisme et Habitat, pour prévenir tout dérapage et anarchie”.

Toute cette réforme, c’était pour prévenir les catastrophes particulièrement en cas de pluies diluviennes, particulièrement à Kinshasa.

Ecosystème urbanistique  balisé, population recadré, Pius Muabilu lance le projet Kitoko

Les réformes initiées n’étaient qu’acrobaties intellectuelles, pour cet homme d’Etat avec des fines idées sur la reconstruction de la Rdc. En réponse au défi démographique de Kinshasa, le ministre d’Etat Pius Muabilu se tourne vers les investisseurs et lance le projet « Kitoko, nouvelle ville intelligente » qui, à la foulée, créera plus de 500.000 emplois. « La réalisation de la première phase de ce grand projet immobilier va créer plus de 500.000 emplois directs et indirects et amorcer une relance économique certaine avec des effets induits sur l’économie d’échelle et l’économie circulaire. La sous-traitance en faveur des entreprises locales sera également favorisée », renseigne le porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya lors du premier conseil des ministres du mois de septembre 2021.

Le projet « Kitoko, nouvelle ville intelligente », qui vise à couvrir 30.000 hectares située à 40 kilomètres à l’Est de Kinshasa, entre le fleuve Congo et la rivière N’Sele, au sud de Maluku, avait  été présenté au Conseil des ministres par le ministre d'État, Pius Muabilu.

« L’enjeu consiste à créer une entité globale et autonome dans son quotidien pouvant offrir les commodités et fonctionnalités tels que les habitations, les lieux de travail et d’études, les soins médicaux, les loisirs, des activités industrielles et technologiques innovantes »,  indiquait le compte-rendu de la 18ème réunion du Conseil des ministres présidée le vendredi 03 septembre 2021 par le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge.  Le contrat pour la réalisation de « Kitoko, nouvelle ville intelligente » avait été signé en février 2021 au Caire (Egypte) entre le chef de l'État, Félix Tshisekedi et le consortium égyptien Income, chargé d'exécuter les travaux.  Selon les plans de cette ville nouvelle, la surface de 30.000 hectares (ha) serait répartie ainsi : 10.000 ha seraient constitués de zones cultivables situées sur les collines et devraient abriter les agropoles ; 10.000 ha seraient réservés aux voiries et réseaux divers (VRD), aux espaces publics et aux espaces verts et enfin, 10.000 ha seraient dévolus au foncier urbain commercialisable.

La première phase de la construction des infrastructures devrait s’étendre sur 5 ans. Le coût est estimé à peu près 4 milliards de dollars américains.

 Muabilu, le plébiscite !

Suite à ses différentes réformes entreprises par le ministre de l’Urbanisme et habitat pour booster le secteur financier et le marché immobilier, notamment le Code de l’Urbanisme et de la construction, ainsi que le Guichet unique de délivrance des permis de construire, considérés comme maillons importants pour la mobilisation des recettes. Pius Muabilu avait été plébiscité au trio, de tête des ministres qui excellent, selon des sondages réalisé par l’Agence de communication intégrale (ACI) a été publié vendredi 07 octobre 2022.

Le multi-élu du Mont-Amba se distingue grâce à une politique pro-habitat adoptée par le gouvernement en vue de réduire au maximum le déficit criant dont ce secteur fait l’objet. Grâce à sa vision et extirper de toute tare, le secteur dont il a la gestion dans le gouvernement, plusieurs actions ont été mises en place et opérationnalisées, parmi lesquelles le Fonds d’avance, Fonds du roi, l’Office national de logements (ONL), l’Agence congolaise pour la promotion immobilière (ACOPRIM) ainsi que le Fonds national de l’habitat (FONHAB). Ces deux établissements publics concourent à faciliter l’accès à la propriété immobilière des travailleurs par leurs employeurs et des fonctionnaires par leurs administrations, mais également de différentes corporations, avec des prêts au logement et des taux d’intérêts hypothécaires accessibles pour tous les demandeurs.

Au regard de ce bilan élogieux durant la mandature qui s’achève, Pius Muabilu  a encore beaucoup à donner à la République démocratique du Congo. C’est le cas de saluer « Muabilu, le réformateur ». Avec ce parcours plus qu’élogieux au profit de la population congolaise, la base de Pius Muabilu qui est dans le d



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