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Candidature de la Rdc à la Commission africaine de l'énergie nucléaire : Didier Mazenga et José Panda se concertent

Me Didier Mazenga M., véritable corps défendant de l'Intégration régionale réussie en Afrique. Cela se traduit, jour après jour,  par son agir et ses codes les plus usuels, à la lumière des orientations lui édictées par le 1er Citoyen, à savoir Félix Antoine Tshisekedi. Pour développer son secteur, la synergie  Recherche Scientifique-Intégration Régionale n'est pas exclue

C'est pourquoi, à en croire notre source, au cours de la visite qu'a effectuée dans son cabinet de travail,  le ministre de la Recherche Scientifique,  ce mardi 08 mars 2022, l'Énergie nucléaire, a constitué,  une véritable matière transversale avec le secteur de l'Intégration régionale.

Cette complicité s'est traduite en acte.

Objet de la visite

Le ministre José Panda était porteur d'un message spécifique  auprès du patron de l'IRF. Ce message s'est articulé sur 2 points essentiels:

L'application des orientations du Chef de l'État Félix A. Tshisekedi, lors du dernier Conseil des ministres, sur le dépôt de la candidature de la Rdc à la Commission Africaine de l'Énergie Nucléaire. En clair, il a été recommandé au ministre de l'IRF de réactiver le dossier faisant allusion au dépôt de la candidature de la Rdc pour devenir Membre effectif   au sein de la Commission Africaine de l'Énergie Nucléaire, Traité qui exempte l'Afrique d'utiliser les armes nucléaires. Au sortir de cette entrevue de près d'une heure, le ministre José Panda a déclaré à la presse que  pour y arriver, la Rdc doit répondre à un critérium ou exigences suivants: sélectionner  un Professeur d'université, disposant d'un profil scientifique doué en matière de l'énergie nucléaire, soit un Physicien ayant une spécialisation éprouvée dans ce domaine.

Pied sur l'accélérateur, le Gouvernement de la République, via le ministère de la Recherche Scientifique est tombé sur 2 dossiers de 2 Professeurs, à savoir : le Prof. Lufungula et le Professeur Ekoko Gratien. Deux ambitieux postulants pour 1 poste.

La Rdc doit trancher avant le 10 mars

 

Le ministre José Panda était obligé de conduire auprès du ministre ayant dans ses  attributions  l'Intégration Régionale, donc Me Didier Mazenga Mukanzu, et  ces dossiers et physiquement ces 2 Professeurs. Comme l'oblige la tradition, M. José Panda a remis officiellement ces dossiers avant de présenter tour à tour lesdits Professeurs devant caméras.  À son tour, Me Didier Mazenga M., après avoir réceptionné ces dossiers, a pris langue avec les deux postulants. Il leur a promis de  transmettre rapidement ces dossiers auprès du Premier ministre Sama Lukonde, 24 h après, pour examen final. Il sied de noter que la décision finale du candidat à sélectionner pour ce poste, revient  exclusivement, au Premier ministre, en collaboration directe avec le ministre Didier Mazenga M. qui s'occupe des questions générales entre la Rdc et l'Union Africaine. Cet exercice doit se faire avant le 10 mars 2022 pour permettre à la Commission Africaine de l'Énergie Nucléaire de statuer sur cette candidature, lors de sa réunion prévue le 21 mars 2022, à Addis-Abeba.

Pour rappel, la Rdc a signé en 1996, le Traité sur l'énergie nucléaire, à Indaba, ratifié en 2005. Depuis lors, aucune avancée notable enregistrée. D'où, le 24 février 2022, sur initiative du Chef de l'État Félix Tshisekedi, les ministres Didier Mazenga Mukanzu et José Panda, ont menés un véritable lobbying auprès de l'UA afin de procéder rapidement au dépôt de la candidature de la Rdc à ce poste. Chose faite avec minutie. Déjà,   une procédure achevée donne droit à la Rdc de devenir membre devant siéger à la Commission Africaine de l'Énergie Nucléaire. La voix de la Rdc permettra à cette Commission à bien gérer, entre autres,  l'épineuse question liée à la gestion des déchets nucléaires. Parce que l'Europe a tendance à jeter ses déchets nucléaires en Afrique. Le Candidat de la Rdc, une fois retenu, devra aussi peser de tout son poids lors des débats sur le mode de gestion desdits déchets  en Afrique. En outre, il doit  booster sur  l'apport de l'énergie nucléaire pour le développement de l'Afrique à travers les secteurs de l'agriculture, santé, infrastructures et autres.



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