Le chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, dans un souci permanent de renouveler la classe politique et favoriser l’émergence de la jeunesse, s’entoure de plus en plus de la nouvelle élite congolaise qui allie patriotisme et compétence et qui, petit à petit prend la place de ceux qui ont fait de la politique leur carrière depuis les années 60. Ceux qui ont pensé depuis longtemps qu’ils étaient irremplaçables se rendent compte aujourd’hui que la République peut effectivement fonctionner sans eux. Parmi ces jeunes cadres dynamiques autour du chef, il y a lieu de se focaliser sur l’un d’entre eux : Jean-Claude Mukanya. Un pur produit de l’université congolaise en l’occurrence l’Unikin dans la faculté de l’Economie. Intelligent, charismatique et doté d’un grand sens de pragmatisme, l’homme qui s’est spécialisé dans les assurances, a fait ses preuves au ministère du Portefeuille avant de poursuivre ses hautes études sous d’autres cieux et acquérir ainsi un savoir qui est mis au service de la nation congolaise. Connaissant très bien les réalités économiques de ce grand Congo pour l’avoir parcouru du nord au sud et de Matadi à Goma en passant par l’espace Kasaï, Jean-Claude Mukanya est une valeur sûre au cabinet du président de la République. Un de ces hommes qui dira toute la vérité au chef pour la relance de la Minière de Bakwanga (MIBA) et même du grand Kasaï en général au regard de sa connaissance de terrain. Pour tous ceux qui connaissent ce jeune cadre abordable et souriant, Fatshi a opéré un choix lucide et efficace en le nommant à ce poste. Ceci prouve que même les jeunes moulus dans les universités congolaises et qui disposent d’un background sérieux peuvent assumer des grandes responsabilités dans ce pays pour accompagner le chef de l’État dans sa vision de la gestion de la res publica.
Ainsi le Kasaï-Oriental dont il est ressortissant peut être fier d’avoir un digne fils représentant valable des intérêts économiques de son peuple à l’heure où cette province qui faisait la fierté du pays peine à se relever. Il apportera ses connaissances acquises au Canada et ailleurs en ce qui concerne les options économiques à privilégier pour redonner du sourire aux kasaiens. Envoyé dernièrement à Mbuji-Mayi pour faire un diagnostic complet et sans complaisance de la Miba, Jean-Claude Mukanya a rencontré tous ceux qui pouvaient de loin ou de près apporter quelques idées dans la relance des sociétés de diamant dont la Minière de Bakwanga sachant que leur impact sur la vie socio-économique de la province n’est point à négliger. Il a par la même occasion sensibilisé la population à la prise de conscience du rôle que chacun doit jouer pour restaurer le bonheur perdu dans la province d’origine du chef de l’État. Son rapport sera certainement pris au sérieux au cabinet du chef de l’État qui se rendra sous peu dans l’espace Kasaï pour non seulement voir de ses yeux le degré de la misère qui y sévit, mais apporter quelques solutions face à une montagne de difficultés. Tous ceux qui pensaient que la présidence n’est occupée que par la diaspora ont une preuve du contraire avec un signe fils du pays né et grandi au pays d’Étienne Tshisekedi wa Mulumba.